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Ils étaient 10 ...

"Dans le coin fenêtre d'un compartiment fumeurs de première classe, le juge Wargrave, retraité depuis peu, tirait sur son cigare en parcourant avec intérêt les pages politiques du Times. Posant son journal, il regarda par la vitre. Ils traversaient maintenant le Somerset. Il jeta un coup d'oeil à sa montre: encore deux heures de voyage. Maintenant, il passa en revue tout ce qui avait paru dans la presse au sujet de l'île du Nègre." Premières phrases du livre "Les 10 petits nègres" écrit par Agatha Christie en 1939. Parmi les ouvrages les plus vendus au monde, c'est le premier roman policier et le sixième livre tous genres confondus. Sous l'influence d'une cancel culture en progression, cet ouvrage est renommé en 2020 "Ils étaient 10".


Alors puisque l'air du temps, un peu frais à Treyvaux il est vrai, nous autorise la réécriture, et puisque nous étions 10 participants, et puisque l'histoire de ce jour s'inscrit pour certains dans des résultats plutôt funestes, embarquons pour ce nouveau chapitre d'Il était une fois la vie de notre Société Gland, "Le Chêne".

Sur les sièges passagers d'un train de trois véhicules de type surélevé, Alfredo, Jean-Louis, Evan, Dominique, Carine et Xavier papotent sur la route qui nous emmène en terre sarinoise, plus précisément à Treyvaux, en haut derrière de la scierie, pour le 14e tir de la Fondue. Marinette, Laurent et Pascal sont au volant. Sacha nous rejoint sur place. Jusqu'ici tout va bien. Nos 10 protagonistes se retrouvent comme de coutume autour d'un café, croissant pour certains mais pas tous. On parle du bonheur de redémarrer une nouvelle saison et on se souvient des années Covid où ces retrouvailles saisonnières avaient été suspendues par une bande de sarrasins haut perchés.


C'est à ce moment qu'apparaît Svetlana qui reviendra dans le fil de nos conversations, et aussi d'ailleurs pour nous amener nos fondues.


Dominique donne le rythme avec un "Allez, on y va!" Chacun se lève, Evan laisse ses miettes sur la table sans doute pour retrouver son chemin. Vestes et ustensiles en main, les tireurs enfilent leurs pamirs pour entrer en stand. C'est plein! Mais les passes sont courtes, 2E, 2S, 3S, 5S, total 12 coups, vite réglé. Marinette est la première à se lancer et score un 46. Alfredo tire en second, 45, pas mal...et même plutôt très bien en comparaison avec ce qui suivra (pour certains). Les premier des 10 sont donc sauvés. Dominique tire en troisième et part à la rencontre du fils de M. et Mme Karembeu, résultat 6 fois 7. Puis c'est la série noire qui commence.....alors pour rester joyeux, comptons plutôt les meringues, vous êtes prêts? Alors sortez les maracas:


- Laurent avec 38 repart avec 8 meringues

- Evan avec 39, 8 meringues

- Pascal avec 43, 8 meringues

- Xavier avec 41, 8 meringues


Mais qui est l'assassin et où se cache-t-il/ ou elle? parité oblige...Nous en sommes à 56 meringues avec une moyenne de 42....bof!


Le mystère plane, plutôt bas, et les esprits s'assombrissent. Dans cette lutte, on ne compte plus les blessures et les entailles. Les visages se font graves. Heureusement, tout n'est pas perdu. Jean-Louis, force tranquille et en douceur, décroche un 47. Sacha s'installe, concentration, et paf....49! Sauvé. Carine s'accroche, probablement un peu trop et stonk! 46. Un début de saison qui reflète la température du jour, plutôt fraîche.


Résultat final: 80 meringues (lot de consolation) et un total consolidé de 436/500, soit une moyenne de 46. On a vu mieux et du coup ben 4 cadavres. Ne se sauvent qu'à peine un de plus que la moitié.


Heureusement, la bonne humeur contagieuse d'une tablée élargie à 16, nous sommes rejoints par les 3B, sauve l'ambiance générale qui s'était rafraîchie. Svetlana amène les fondues avec un sourire crrrraquant. Comme toujours, elles sont délicieuses. Certains ne résisteront pas aux meringues, d'autres choisiront les glaces en dessert. Accueil soigné, équipe au top, stand impeccable. On reviendra.


Du coup, pas certain qu'ils faille vraiment changer les versions originales.

Ou alors faut-il trouver un bon nègre.

Toujours est-il que pour ce qui est du tir, il va donc falloir travailler.







































































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